Pile électrique spécial

Peut un double phénomène d'oxydation générer un courant électrique?

Ce matériau a été soumis pour publication à la Royal Society of Chemistry - Chemical Communications.
Après avoir soumis le manuscrit, j'ai reçu un message du rédacteur et lui m'a demandé de justifier pourquoi je pense que cela mérite d'être publié dans Chemical Communications; et que ma justification doit prendre en compte les aspects suivants: le matériau doit être concis et avoir un caractère original et encore d'être de grand intérêt pour les lecteurs ou intérêt exceptionnel à des spécialistes.
Comment manuscrit ou manuscrits ( car alors j'ai envoyé un autre trois ) se sont réunis toutes ces conditions, j'ai fait une justification détaillée et plus que ce que j'attendais décision de publier ....
Mais  leur décision semble comme une copie carbone d'autres décisions que vous avez reçues de 1995 à aujourd'hui.
Lire la discussion dans l'original à la fin de l'article ...

Résumé

Une batterie inhabituel est proposé dans l'expérience ci-dessous. La particularité de cette cellule est le fait que les deux électrodes (cathode et anode) subissent phénomène d'oxydation. Dans ces conditions encore un courant électrique est généré dans un circuit externe. Dans le cadre de la science actuele, aucune explication possible peut être formulée pour l'expérience et un nouveau cadre pour la conversion de l'énergie chimique en énergie électrique doivent être proposées.

Contexte et interprétation actuell

Quelques centaines d'années auparavant, les premiers succès ont été comptés en électricité à la suite d'éléments galvaniques et explication électrolyse. L'explication formulée à l'époque, en principe, est la même que celle acceptée dans nos jours et est présenté dans les livre de bas niveau de la science (physique et chimie).
(Piles électrochimiques) produisent de l'électricité par des réactions chimiques spontanées. C'est parce que les batteries fonctionnent par des réactions d'oxydation / réduction (redox), impliquant le transfert d'électrons. Pour une batterie au travail, à la fois une oxydation et une réduction doivent arriver, on génère des électrons à une électrode, et l'autre utilise les chercher à l'autre électrode. Chacun d'entre eux est appelé un "demi-réaction". Si les électrodes sont reliées à l'extérieur de la cellule par un circuit, le flux d'électrons, et la réaction est achevée pleine (fig. 1).
circuit de la batterie

Figure 1 flux d'électrons dans un circuit

De façon simplifiée at-il une source chimique est effectuée par:
Anode: Le pôle négatif de la batterie, où se produit l'oxydation.
Cathode: Le pôle positif de la batterie, où la réduction se produit.
Electrolyte: Une solution qui facilite la circulation de l'énergie.
Pour illustrer comment une batterie fonctionne et comment les composants interagissent, nous allons examiner la batterie simplifiée de la figure. 1 et un circuit externe réalisé par une résistance (ampèremètre).
Comme résultat de la réaction d'anode, les électrons sont libres de se déplacer dans le conducteur, et un courant électrique est généré. Lorsque les électrons arrivent à la cathode, ils sont utilisés pour compléter l'étape de réduction de la réaction.
Ce flux d'énergie se poursuivra jusqu'à l'anode ne peut plus donner des électrons et la cathode ne peut plus recevoir des électrons.

Partie expérimentale

 Une bande de Zn et d'une bande de Fe sont immergées dans une solution (4M) d'acide sulfurique et reliés à un ampèremètre, comme indiqué sur la fig. 2.

Figure 2 Détail de l'expérience

Un courant électrique est mesuré par l'ampèremètre. La taille du courant électrique mesuré est fonction de la zone de contact entre les électrodes et la solution d'acide sulfurique. Dans notre cas, avec une zone de contact d'environ 1 cm2 le courant mesuré était de 6,1 mA.
Dans le même temps, la bulle d'hydrogène évoluent simultanément aux deux électrodes (voir image ci-dessous prise avec un appareil photo). Une procédure analytique simple peut constituer une preuve dans une solution à la fois Fe et Zn côté espèce de sulfate.

Auparavant, les deux métaux ont été testés et lorsqu'il est immergé individuellement en acide sulfurique, ils réagissent avec qu'après équations chimiques bien connus.

Parce que maintenant c'est la mode d'avoir une vidéo de l'échantillon, un court métrage sur 07.oct. 2013 est présenté ci-dessous. Dans ce cas ampèremètre courant de mesure est de 67 mA env. L'expérience a été faite en amateur avec une solution de concentré d'acide sulfurique. env. 4M, un rouleau de pic et une bande de zinc récupéré à partir d'une batterie utilisée.

Interprétation de l'expérience

 Il est difficile de croire qu'une expérience plus simple capable de démolir toute la science moderne sera jamais exécutée.
Comme on l'observe il ya un processus d'oxydation à deux électrodes et en dépit de ce fait, un courant électrique est en marche dans le circuit externe.

Dans les deux électrodes, simultanément, complètes et différentes réactions d'oxydoréduction a lieu et les deux électrodes métalliques subissent un processus d'oxydation. Le mouvement des électrons dans le circuit externe est complètement inexplicable dans la science réelle. Si certains électrons sont générés à l'électrode Fe, et d'autres électrons sont générés à l'électrode Zn, il est totalement absurde de penser que ces électrons se déplacent dans le circuit externe uniquement pour le plaisir de voyager ...on se rencontre, on se salue et ils continue leur chemin ...

L'interprétation détaillée du phénomène des électrodes sera faite dans le livre.

Conclusions

Dans un nouveau et plus fiable interprétation d'un courant électrique n'a rien à voir avec un mouvement de charge électrique.

Le concept de l'état d'oxydation est exclu comme étant inutile et le concept de l'oxydation et de réduction doivent être affinés.

Here is part of the discussion I had with ChemComm editors:

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To: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Sent: Thursday, May 16, 2013 1:04 PM
Subject: ChemComm - CC-COM-05-2013-043664 - justification statement needed

16-May-2013

 Dear Dr Cosofret:

 Thank you for submitting your manuscript entitled "Under voltage electrolysis and foundation of exact sciences" to ChemComm.

 According to our Guidelines for Authors at http://www.rsc.org/Publishing/Journals/guidelines/AuthorGuidelines/JournalPolicy/Journals/CC.asp we require a brief statement justifying why your article should be published in ChemComm. When preparing your letter please bear in mind the following criteria:

 Communications should be a concise preliminary account of original and significant research. Communications should appeal to either the wide general readership or be of exceptional interest to the specialist.

 I would be grateful if you would email your justification letter to Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. as soon as possible. Please remember to quote your manuscript reference number CC-COM-05-2013-043664 in all correspondence.

 Yours sincerely,

 ChemComm Editorial Office
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From: Sorin Cosofret <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.;
To: "Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser." <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.;
Sent: Tuesday, May 21, 2013 2:05 PM
Subject: Re: ChemComm - CC-COM-05-2013-043664 - justification statement needed

Dear Sir,
Dear Madame,
I was asked to give a justification for a possible publication of a manuscript, reference number CC-COM-05-2013-043664, in ChemComm journal.
As far in the future, I have the intention to submit other manuscripts for publication, this letter will be a little bit longer and I will explain my main motivations.
I started the work to a new theory of science about 25 years ago, with a budget of about 200 euro per month (my entire earnings for living in that time were equivalent to 400 euro and from this amount half were dedicated for research). I know it seems crazy, but in those conditions I was able to formulate a new theory of gravitation and a new theory of atomic structure. Although I was trying to promote these theories in mainstream literature, no high IF journal was ever interested to publish articles out of these works. Later, I had the occasion to get a temporary but much better but job (sic!) in the EU and with a better budget, I was able to continue my works and propose a new theory of relativity, a new theory of chemistry and a corpuscular theory of light. By end of 2011, five books about these theories were already published with money coming from my pockets.
Now I am continuing expanding these theories although I earn few hundreds euro per month in unqualified jobs. I am working in parallel in the following directions:
Ø PRINCIPLES OF MAGNETISM AND ELECTRICITY
Ø BASICS OF PHYSICAL CHEMISTRY
Ø ASTRONOMY AND ASTROPHYSICS
Ø NUCLEAR AND ELEMENTARY PARTICLE PHYSICS
Ø Thermodynamics and statistics
The submitted article, reference number CC-COM-05-2013-043664, is already part of the published book ,,Concepts in chemistry´´. It is a simple cut off experiment which cannot find a consistent explanation in the frame of actual physics or chemistry.
I will be interested to submit about 20 cut off experiments in chemistry field and I will be glad if Royal Society of Chemistry dares to challenge for a revolution in exact sciences. By comparison with astronomy or atomic structure, the proposed cut off experiments in chemistry or electricity are low cost and easy to be replicated in any school laboratory.
As far I am sure about the results of experiments, a simple question remains: Do Royal Society of Chemistry want to make history? Or prefers to be reminded as an obstructionist for a history change....
Sincerely
Sorin Cosofret

From: "Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser." <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.;
To: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Sent: Wednesday, May 29, 2013 6:12 PM
Subject: ChemComm - Decision on Manuscripts ID CC-COM-05-2013-043664, 043842, 043956 and 043995

  29-May-2013

  Dear Dr Cosofret:

  MANUSCRIPT ID: CC-COM-05-2013-043664
TITLE: Under voltage electrolysis and foundation of exact sciences
AUTHORS: Cosofret, Sorin

  MANUSCRIPT ID: CC-COM-05-2013-043842
TITLE: Concentration cell and foundation of electrochemistry
AUTHORS: Cosofret, Sorin

  MANUSCRIPT ID: CC-COM-05-2013-043956
TITLE: Volta Battery and the basis of electricity
AUTHORS: Cosofret, Sorin

  MANUSCRIPT ID: CC-COM-05-2013-043995
TITLE: Can electrodes double oxidation phenomena generate an electric current?
AUTHORS: Cosofret, Sorin

  Thank you for your submissions to ChemComm, which I have read with interest. I regret to inform you however that this manuscript will not be considered further as a submission to the journal. All manuscripts submitted to ChemComm are initially evaluated by the Editors to ensure they meet the essential criteria for publication in the journal. I'm sorry to say that on this occasion your articles will undergo no further processing.

  In the justification accompanying manuscript CC-COM-05-2013-043664, you mention that the article is already part of a published book. As the content is already published and in the public domain, we cannot consider it for publication in ChemComm as it is a breach of the terms of our Licence to Publish, in particular Section 2, which states that:

  (c) the Work has not been and will not prior to publication by the RSC be published, with the sole exception of
deposition of the pre-submitted manuscript in non-commercial subject repository(ies).

  Furthermore, we do not feel that that a series of stand-alone experiments warrants publication as a series of communications.

  Papers published in ChemComm should report preliminary accounts of original and significant research that will appeal to a wide general readership or be of great interest to the specialist. The rejection rate for papers submitted to ChemComm is ~70%. Further information regarding our policy on the initial assessment of submissions can be found on our website at http://www.rsc.org/Publishing/Journals/guidelines/AuthorGuidelines/JournalPolicy/initialassessment/index.asp

  I am sorry not to have better news for you. Thank you for giving us the opportunity to consider this work; we wish you every success should you decide to submit the article elsewhere. Thank you for your interest in ChemComm.

  Yours sincerely,

  Ellie

  Dr Eleanor A. Merritt, MRSC
Publishing Editor, ChemComm and Chemical Science

  Royal Society of Chemistry, Thomas Graham House,
Science Park, Milton Road, Cambridge, CB4 0WF, UK
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